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Happy birthday to you déclarée musique libre de droit
Happy birthday to you déclarée musique libre de droit et du domaine public
La Justice américaine déclare que la chanson Happy birthday to you fait désormais partie du domaine public.
Cette œuvre était la propriété du célèbre éditeur Warner/Chappel music qui avait acquis les droits d’édition en 1988 pour la coquette somme de 25 millions de dollars, selon le Los Angeles times.
La mélodie et les paroles sont maintenant libres de droit excepté un arrangement piano protégé en droits d’auteur.
La chanson Happy birthday to you s’inspire d’une chanson pour enfant « Good morning to all » composée en 1893 par les soeurs Patty Hill et Mildred J.Hill.
Patty Hill était directrice d’un jardin d’enfants à Louisville dans le Kentucky, elle y développa plusieurs méthodes ludiques pour enfants. Sa sœur était pianiste et compositeur.
Après toutes ces années de flou juridique et selon le juge George H. King, toute utilisation voire synchronisation avec un film ou enregistrement à des fins commerciales sera en pleine conformité avec la loi et le copyright.
Les marques misent sur la musique Filmtv-tracks
Les marques misent sur la musique Filmtv-tracks
L’intérêt que se portent mutuellement marques et musiciens ou producteurs de musique est devenu de plus en plus logique et évident. L’évolution quasi simultanée du modèle économique de l’industrie musicale et du marketing, pour la différenciation et l’image de marque, chez les industriels ou distributeurs a conduit à l’émergence d’un véritable marché de la musique publicitaire connectée aux marques.
Avantages pour les marques
Devant la multitude de spots télévisés, il ne faut pas s’étonner qu’à 65 ans, le consommateur moyen aura l’équivalent de 24 heures de pubs, tous les jours pendant 2 ans, soit 2 millions de spots. Avec l’avènement des nouvelles technologies, le public écoute la musique sur environ 5 supports différents. (étude Millward Brown Brandamp 2007)
Si au début de l’audiovisuel 3 passages suffisaient pour laisser sa trace dans l’esprit des spectateurs, il en faut plus d’une centaine pour avoir un effet similaire. Ce n’est pas pour rien qu’Intel, Nespresso, MMA, Dim, McDonald’s et bien d’autres sont devenues des « marques qui chantent » : elles se repèrent aisément dans la multitude par quelques notes ou accords bien singuliers.
Nouveau relais économique pour l’industrie musicale
Historiquement les marques n’ont jamais vraiment soutenu l’industrie musicale : en moyenne 5% du budget marketing est dépensé en musique. D’Autre part, les marques rechignent à travailler avec un secteur toujours au bord de l’embargo juridique. Ce dilemme légal renchérit ainsi les affaires avec une industrie réputée onéreuse. Enfin les marques estiment qu’il est assez difficile d’estimer le retour sur investissement d’une oeuvre musicale connectée.
Le secteur est en évolution puisque les marques font d’avantage d’investissement dans ce domaine. L’industrie de la musique aussi avec des acteurs spécialisés dans les musiques promotionnelles libre de droit comme Filmtv-tracks qui promeut des œuvres artistiques originales pour des utilisations commerciales. Concrètement et selon les résultats des études de Alpert et Alpert (1991), on s’aperçoit que les messages publicitaires sont de plus en plus en phase avec la musique, preuve d’une meilleure collaboration entre marques et producteur de sons.
La musique libre de droit de Filmtv-tracks offre de nouvelles perspectives aux annonceurs. Une licence simple et économique est proposée pour vous permettre d’utiliser une vaste collection de musiques dans laquelle se trouver LA piste adaptée à votre spot ou à votre utilisation.
Aujourd’hui, les grandes marques misent sur la musique filmtv-tracks dans leur communication. Investir dans la musique est devenu un must pour développer une notoriété et toucher une plus grande audience. De nombreuses grandes marques vont jusqu’à intégrer la musique à leur ADN de marque.
l’identité visuelle a toute son importance dans l’image de marque d’une entreprise, son environnement musical ne compte pas moins et certaines marques commencent à s’y intéresser de très près grâce aux conseils d’agences de communication ou de publicité.
La musique japonaise dans les jeux vidéo
Si je vous dis musique et plombiers moustachus, entendez-vous les quelques premiers bits de musique du célèbre soft de la NES de chez Nintendo ? Pour les plus jeunes, peut-être que ces notes sont un peu différentes, mais la musique tient une place prépondérante dans les jeux vidéos en général, et japonais en particuliers.
Le paysage musical nippon
La musique japonaise traditionnelle est bien présente dans les jeux vidéos japonais, et se retrouve plus dans des titres comme Shogun Total War ou Okami. Par contre le genre ultra populaire chez les 60 ans et plus, soit 30% de la population, le enka n’est pas à la fête chez Sony ou Nintendo.
Le principal courant musical dans de nombreux softs actuels est la J-Pop ou pop japonaise qui englobe autant les bando comme AKB48, que les descendants de Kiss du visual, ou les chanteurs et groupes des 30 dernières années. Ce genre musical se propage souvent à travers les différents titres issus des mangas comme Pokemon, Dragon Ball ou Naruto : ils reprennent souvent la musique de l’anime orginal.
Des mélodies variées
Le shamisen, taiko ou shakuhachi sont les principaux instruments reconnaissables dans les jeux proposant une musique dite traditionnelle. L’ambiance zen est clairement perceptible et se fond à merveille avec les thèmes oniriques, l’honneur, l’art japonais traditionnel des estampes comme dans Okami ou les paysages naturels calmes et ouverts.
Bien entendu, des musiques ont été aussi crées spécifiquement pour le jeu vidéo. Sur les premières consoles toute la mélodie reposait sur quelques sons ou bits – vu que l’information complexe ne pouvait pas être stockée. Cela n’a pas empêché les japonais de faire des mélodies accrocheuses et mémorables comme celle de Super Mario Bros, Tetris, Double Dragon ou Super Mario Kart. Dans les titres plus récents et les licences à succès, on note que la musique est une des clefs de leur popularité.
La musique : marquer les esprits et une génération
Ainsi que serait la licence Final Fantasy sans ses thèmes musicaux puissants comme celui de Sephirot dans FFVII ou les pistes oniriques des différents Zelda – dont celui réservé à la musique et à l’instrument japonais ocarina ? Ces musiques cultes font perdurer le mythe et ajoutent une plus value inégalée à l’expérience de jeu – on ne s’identifie pas qu’aux personnages ou aux lieux mais aussi au son. Un bon jeu comprend donc une bande sonore culte – hormis cas exceptionnel.
Ces musiques japonaises de jeux vidéos inspirent désormais les jeunes artistes en quête de reconnaissance sur le Net et c’est tant mieux.